Haldaran
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 Aurora Lady Sylvestre

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Aurora L. Sylvestre

Aurora L. Sylvestre


Messages : 5
Date d'inscription : 25/04/2012
Age : 27
Localisation : Dans ma petite boutique!

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MessageSujet: Aurora Lady Sylvestre   Aurora Lady Sylvestre EmptyMer 25 Avr - 17:54







Aurora L. Sylvestre

« Oh please, everybody knows that, sir. »


Âge : 19 ans
Origine : Basse Haldaran, Zhian.
Lieu/Etat de résidence : Empire d’Abel, Amber.
Métier/Activité : Couturière, tient une petite boutique de vêtements en ville. Aspire à devenir une styliste réputée.











In Game

Caractère .
Aurora n’est pas un personnage bien difficile à comprendre, honnêtement. Je crois qu’elle n’a pas besoin d’une mentalité complexe en plus d’un passé chaotique. C’est une jeune fille toujours joyeuse et optimiste, qui fait tout pour vivre au mieux, et s’assurer un quotidien tranquille. Elle sait apprécier les petits plaisirs de la vie, et lui en faut peu pour la satisfaire. Par exemple, elle aime se lever de bonne heure pour aller chercher du pain chaud à la boulangerie, ou prendre le café avec des connaissances croisées. Son côté insouciant ne la rend pas naïve. Au contraire, elle est très observatrice et analyse toujours les gens, au quotidien. Que ce soit un homme observé dans un bus ou une rencontre.

Même si elle préfère prendre toujours les choses du bon côté, et ne pas s’embêter avec des broutilles, Aurora est extrêmement perfectionniste, et notamment dans son travail. Elle gère ses employés amicalement, mais d’une main de fer. Que ce soit pour les vêtements ou le service dans le salon de thé, tout est calculé avec minutie et rigueur. Et c’est la même chose pour ses emplois du temps. La jeune femme est toujours ponctuelle, et a horreur des imprévus contraignants, ainsi que les gens en retard. En revanche, elle adore à petite dose les folies d’une journée, comme quitter la ville pour une excursion à la montagne, ou s’autoriser des activités auxquelles elle ne participe pas d’habitude (une soirée Poker, ou un bal masqué).

Aurore n’est pas une avide séductrice, en revanche, elle aime beaucoup prendre soin d’elle et plaire. Elle reçoit très bien les compliments, et aime qu’on la flatte. Ce n’est pas une femme qui fait du grand rentre-dedans auprès d’hommes charismatiques, mais elle sait donner et recevoir des sourires en coin, des regards de biais, des clins d’œils et de rougissements intimidés. Ayant tout de même un faible pour les hommes, elle se comportera toujours de manière douce et charmante avec eux, battant des cils et parlant d’une voix calme et délicate. Cependant, elle n’est pas coureuse. Aurora aime juste être appréciée. Par contre, au niveau sentimental, elle est extrêmement difficile par rapport à son type d’homme. Malgré ses 19 ans, elle essaie toujours tant bien que mal de croire au Prince Charmant. Mais une fois amoureuse, ce qui arrive très rarement, vu qu’elle n’est tombée amoureuse qu’une fois dans sa vie, elle en devient maladive et obsessionnelle.

Sa féminité se caractérise par un grand soin à ses habitudes vestimentaires (la plupart du temps, elle porte des pièces uniques sur mesure créées par elle et pour elle), ses soins du corps, du visage, du cheveux, et de ses habitudes esthétiques. Elle n’en fait jamais trop: pour elle, la beauté doit rester naturelle.

De plus, Aurore est une jeune femme qui à côté de ses vêtements, garde à toujours être gracieuse et distinguée. Elle se tient droite, la tête haute, mais ne marche pas vite dans la rue, mais régulièrement, donnant une impression de flotter ou de danser sur les pavés. Un visage toujours souriant, un geste souple de la main, un léger coup de tête pour ranger ses cheveux derrière son épaule. Tous ces gestes sont contrôlés et calculés.

En société, la jeune femme est quelqu’un de très peu timide, et est toujours assez sociable, quoique restant à sa place. Elle se montrera toujours polie envers tout le monde, et saluera toujours des connaissances chaleureusement, n’ayant aucun problème à parler avec des personnes qu’elle ne connait pas plus que ça. Comme son père, elle est très bonne oratrice, et s’exprime parfaitement en public, toujours en gardant une pointe de malice et de légèreté dans son ton et ses propos. Bien que polie et éduquée, elle garde une part d’insolence et d’insouciance qui la rend amusante à côtoyer. Pour l’instant, cependant, elle ne connait pas grand monde à Abel, alors n’a pas d’amis proche, ce qu’elle regrette, mais cela ne tardera pas à arriver.


Histoire .
Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire d’une jeune fille, que je connais personnellement, tant bien que j’ai la capacité de vous conter son passé, ma foi empli de secrets et de mystère. Aurore est une jeune femme au quotidien tranquille et paisible, mais au passé assez terrible. Personne n’en sait sur son histoire, car personne n’en parle. C’est une histoire condamnée, tabou. Terrible. Qui n’a pas d’importance au niveau national, mais qui sème le chaos dans un environnement familial. C’est le genre d’histoire qui hante des générations et des générations, sans même qu’elle ne soit révélée au futur. Elle reste encrée, profondément. Et, même si on vend notre âme au diable pour cacher ce drame, on ne peut empêcher un part des secrets de filtrer au travers d’un tissu de mensonges.

Et tout commence avec une famille respectée et appréciée, pour sa simplicité, et sa convivialité. Un père philosophe, une mère écrivaine, conviés à toutes sortes de fêtes et de bals mondains, de conférences journalistiques, de réunions critiques. Des parents débordés, mais vivant dans une luxe modeste (Dieu, que j’aime les paradoxes), en appartement, dans la cité académique d’Haldaran. Le père, en plus d’être philosophe, était professeur à l’académie, et la mère écrivait tout le temps à son bureau lorsqu’elle ne rédigeait pas des critiques littéraires pour la presse. Puis, leur longue vie de couple entraine une première naissance. Une naissance que Mr. Sylvestre le père attendait avec impatience, mais une naissance, qui se révéla, avec les années, une déception. Cédric, le premier fils, était tout ce que le père n’avait pas voulu. Laid, empoté, il n’était ni particulièrement bon à l’école, ni particulièrement doué dans une matière physique. Maigre, frêle, il n’avait ni l’allure ni la démarche d’un bon soldat. Bégayant, zozotant, il n’était pas non plus bon orateur. Constamment protégée dans les jupons de sa mère, il vivait en subissant chaque jour le regard méprisant de son père.

Cinq ans après Cédric, Mme. Sylvestre donna naissance à un second fils, Lumière, qui était tout ce que le premier n’était pas. Il grandit rayonnant, en bonne santé, discipliné, agile de ses doigts, et parlant avec l’assurance d’une grande personne dès son plus jeune âge, faisant la fierté de ses parents. Il suivait les idées de son père à la lettre, et copiait sa méthode d’écriture sur celle de sa mère. Mr. Sylvestre le voyait déjà politique, ou philosophe, comme lui. Ou général de l’armée.

Évidemment, une jalousie maladive naquit en Cédric dès la naissance de son plus jeune frère. Comment pouvait-il en advenir autrement? Il était constamment mis dans l’ombre, accroché à sa nourrice quand les parents recevaient des invités à la maison. Il n’eut jamais droit à une once d’éloge, de compliments. Et pourtant, malgré ses nombreux défauts, il avait du talent. Il écrivait des poèmes dignes des plus grands, et composaient des toiles comparables aux plus grands chef d’œuvres. Mais cela ne comptait pas aux yeux des parents, qui ne prêtaient de toute façon jamais attention à lui. C’est ainsi que Cédric se mit à éprouver de la haine. Envers son frère, envers lui-même, envers le monde entier. Il s’effaçait d’autant plus, s’enfermait dans sa chambre, tandis que les années passaient.

Lors de son vingt-cinquième anniversaire, ses parents organisèrent une petite réception, qui ne valait pas le dixième des anniversaires qu’avaient eut Lumière. Ils invitèrent un couple d’amis, Baron et Baronne de Magdaline et leur fille pour dîner. Cédric ne les avaient jamais vu de sa vie, mais ne se demanda même pas pourquoi ses parents les avaient invités. Cependant, lors du repas, il se lia très vite d’amitié avec la jeune fille de vingt ans, Sophie, qui était avec lui plus aimable et attentive que n’importe qui d’autre. Il la décrivait comme plus belle que le soleil et plus délicate qu’une fleur.

Elle revint à plusieurs reprises passer des après-midis avec lui, et l’inévitable arriva: il en tomba éperdument amoureux. Mais il n’avait pas remarqué durant toutes ces visites et se temps passé ensemble, les regards qu’échangeaient la jeune Sophie avec Lumière. Il n’avait pas remarqué comme ses joues rosissaient avec pudeur lorsque son cadet lui souriait avec intérêt. Sophie adorait Cédric. Elle lui disait qu’il avait été le meilleur ami qu’elle avait jamais eu. Il prit cela pour une déclaration. Et lorsqu’il lui avoua son amour, Sophie le repoussa, déclarant que même si elle l’aimait comme un frère, c’était pour Lumière que son cœur battait.

Avec le bonheur d’un couple naissant vint la destruction d’une personne plus seule que jamais. La haine qui rongeait Cédric lui détruisait l’âme, l’avait rendu inhumain, physiquement. Il avait un visage de vieillard à trente ans, ses cheveux aussi gras que son visage, le teint grisâtre, des rides marquant déjà son visage aigri, et contournant des yeux noirs et enfoncés dans leur orbite, détruits par des heures de manque de sommeil. Une silhouette maigre, des doigts squelettiques, bossue, constamment recroquevillée. Il voulait tuer son frère, se débarrasser de celui qui avait rendu sa vie aussi misérable. Et il essaya. Lors d’un dîner de famille, alors que Sophie et Lumière annoncèrent leur mariage, Cédric sauta au cou de son petit frère, couteau à la main. Il l’aurait fait, si Sophie n’avait pas menacé de se tuer si jamais il osait toucher à son futur mari. Alors, anéanti, Cédric céda. Et ses parents, déjà déçus, décidèrent de l’envoyer en hôpital psychiatrique pour en quelques sortes, s’en débarrasser une fois pour toutes.

Dix-sept années s’écoulèrent. Durant ce temps passé, le mariage de Lumière et Sophie eut lieu, et ils donnèrent seulement six mois après naissance à une jolie petite fille au duvet blond, qu’il nommèrent Aurora, pour assortir son prénom à celui de son père. Elle grandit comme ses deux parents en toute splendeur, adorée, gâtée, bien éduquée. Elle était une enfant remplie de joie de vivre, et une adolescente droite, souriante, et proche de ses parents. Ne nous mentons pas: elle avait les mêmes envies que tous les adolescents. Elle voulait sortir, s’amuser, flirter un peu, et tout ce qui allait avec... Ce qui ne dérangeait pas ses parents, tant qu’elle avait de bonnes notes scolaires et qu’elle restait polie et disciplinée.

Au bout de ces dix-sept années, Cédric fut libéré de l’hôpital, jugé non malade mentalement, après que les docteurs aient longuement buté sur son cas. Il revint contrairement aux attentes, reposé, sa rancœur ravalée, malgré le goût amer qu’elle avait. Il réintégra rapidement sa famille, et fut invité par son frère à dîner. Malgré le passé, Lumière affectionnait Cédric. Rien ne pouvait briser les liens du sang.

Aurora avait dix-sept ans lorsqu’elle rencontra son oncle, et était déjà promise au fils d’amis proches de ses parents. Elle aimait ledit fils, mais le détestait à la fois. Depuis leur rencontre, ils avaient entretenu une étrange relation où ils éprouvaient tous deux le besoin de se faire du mal mutuellement, mais à côté, d’aimaient maladivement. Manque de chance pour Cédric, il trouva en Aurora tout ce qu’il avait trouvé en Sophie à l’époque où il était amoureux d’elle. Et la crise se reproduit. Le premier frère tomba de son côté fou amoureux de sa nièce.

Alors il revint. Il trouva toujours un moyen pour se rapprocher d’elle. Ils riaient ensemble, discutèrent, devinrent très proches. Aurora, pour une fois dans sa vie, regarda une personne au-delà des apparences, et établissait un contact spécial avec son oncle. Elle lui tenait la main, le bras, l’épaule. Contrairement aux autres, elle n’avait pas de mal à le toucher. Il fallait l’avouer: il était repoussant. Cependant, il ne ressentit pas ce contact physique avec sa nièce normalement. À travers ces gestes, il comprit une affection au-delà de l’amical. Il la voulait à tout prix.

Lorsqu’Aurora raconta à son oncle la période intense de crise qu’elle traversait avec son aimé, qui allait entrainer une rupture du contrat que les deux familles avaient conclut, l’oncle sauta sur l’occasion. Il alla avouer à son frère qu’il trouvait fâcheux de perdre un prétendant comme ça, et qu’il fallait remédier le plus vite possible à cela. Lumière confirma. Il ne devinait pas les arrières-pensées de Cédric.

Cédric qui un jour, fit un pas de trop vers Aurora. Un jour comme tous les lundis, où la jeune fille alla se balader au parc avec son oncle. Elle n’eut qu’à passer son bras autour de celui du quarantenaire à l’allure de bossu, et il fondit sur elle. Une caresse et un effleurement de lèvres mal placé plus tard, la jeune fille était à crier au secours, perdant toute l’estime qu’elle éprouvait à l’égard de son oncle.

Grâce à Lumière, Cédric ne fut pas arrêté. Il mit ça sur le compte de trop d’années passées, enfermé dans un hôpital lugubre. Mais il interdit son frère d’approcher sa nièce. C’était facile à dire. Et même si Cédric ne fit aucun contact avec Aurore, il continua de la suivre et de la surveiller, toujours en espérant pouvoir l’avoir à lui tout seul dans un endroit où personne ne pourraient les trouver. Et ce cirque dura deux ans. La jeune fille continua de recevoir des lettres amoureuses de son oncle, qui lui donnait toujours rendez-vous à un certain endroit à une certaine heure, ou qui la décrivait alors qu’il l’avait suivie dans la rue à telle moment de la journée. Cette fois, c’était clair: Cédric Sylvestre était devenu bon à interner.

Aurora ne se sentait tout simplement plus en sécurité. Alors, elle décida de s’enfuir de chez elle, et de quitter Haldaran, voulant se trouver le plus loin possible de son oncle, et vivre sans une constante oppression. Elle ne mit au courant personne, et laissa une simple lettre à sa mère:

« Chère mère,

C’est avec regret que je vous annonce mon départ. Je ne voulais pas en arriver là. Mais je suis enfin majeur, et j’ai enfin le droit de voler de mes propres ailes. Et avec ces ailes, je vais voler loin de mon oncle, dont je ne peux supporter la présence plus longtemps. Je ne vous donnerai pas mes coordonnées, ni vers quels horizons je pars. Je ne veux pas prendre le risque de laisser une trace quelconque.
Je vous demanderai sincèrement de ne pas vous inquiéter pour moi. Tout ce que je peux vous dire, c’est que je suis dans un endroit sûr et paisible. Ce n’est pas la peine de me chercher. Je vais tout à fait bien, et je peux vivre pleinement à présent.
Je ne sais pas si nos chemins se croiseront un jour. Mais je tiens à vous dire que je vous aime, vous et père, et que je penserais à vous tous les jours de mon existence. Je n’ai donné mon adresse qu’à une personne, que vous connaissez, mais dont je ne citerai le nom. C’est elle qui se chargera de me rapporter vos nouvelles, comme cela, je pourrai toujours m’assurer que vous allez bien. Veillez bien sur père pour moi.

Avec Amour, Aurora.

PS: Ne dites rien de tout ça à mon oncle. Par pitié. »


La personne chargée de transmettre à Aurora des nouvelles de ses parents s’agissait de Jacques, son ancien promis. Malgré leur relation destructrice, les deux s’aimaient toujours quelque peu. On n’éteignait pas une flamme comme la leur aussi facilement. C’est aussi lui qui aida Aurora à s’enfuir, un soir, tard dans la nuit, pour être assuré qu’elle ne soit pas suivie par Cédric. Il la conduit en voiture par son cocher particulier à la gare, où Aurora prit un billet direct pour Amber, à Abel.

La jeune fille avait emporté toute ses économies depuis sa naissance, argent que ses parents déversaient régulièrement sur un compte. Elle avait reçu en dix-neuf ans une somme assez grasse, et put, aussitôt arrivée à Amber, de payer un petit appartement de centre-ville, certes, pas très grand, mais tout à fait charmant. Elle racheta aussi une boutique d’antiquités située au rez-de-chaussée de l’immeuble où était situé son appartement, et décida d’y monter une boutique de vêtements, après avoir rénové le lieu, et en avoir fait endroit où toutes les femmes seraient rentrées, épuré et féminin, avec un petit salon de thé inclus. Le magasin ne mit pas beaucoup de temps à fonctionner, et Aurora trouva très vite trois ou quatre employées, certaines chargées de l’aider pour la vente et la confection de vêtements, et d’autres s’occupant plutôt du salon de thé.

Description Physique .
Comment vous décrire Aurora? Je crois que... C’est de loin la jeune femme la plus délicate et rayonnante que j’aie rencontré. Évidemment, elle tient de ses deux parents, tous deux extrêmement beaux aussi. Dans l’allure, la morphologie, elle prit tout de sa mère. Mais dans la finesse et le caractère de ses traits, elle hérita tout de son père.

Point par point. Pour commencer, elle ne possède pas une silhouette longiligne. Au contraire. Ses épaules ne sont pas bien larges, mais sa poitrine et ronde et généreuse, mise en valeur par sa taille fine et ses hanches marquées. C’est ce qu’on appelle un corps en 8. Ces attraits lui donnent l’air tout à fait appétissant d’une fille de cabaret, morphologie atténuée par ses vêtements beaucoup plus pudiques que ces femmes vulgaires.

En effet, Aurora sait tout à fait se mettre en valeur sans se dénuder. Elle porte très souvent des robe simples de couleurs sombres ou pâles, jamais très criardes, mais toujours associées à des accessoires tels des châles, chapeaux, foulards, gants, gilets, ombrelles ou sacs qui viennent rehausser d’un ton ses tenues. Comme toutes les femmes d’époque, elle porte beaucoup de corsets par dessus ses robes, pour serrer la taille et mettre en valeur la poitrine (tel est le but d’un corset, n’est-il pas?).

La jeune femme possède une masse incroyable de cheveux blonds et ondulés sur les bas. Il sont doux et extrêmement épais, mais grâce à un soin quotidien de sa chevelure, elle réussit à les avoir toujours brillants et ordonnés. Elle les attache rarement, elle préfère les laisser glisser le long de ses épaules ou voler au vent. Cependant, elle les décore toujours simplement de quelques barrettes ou d’un serre-tête.

Elle porte un visage toujours rayonnant de joie et de savoir-vivre, doux et insolent à la fois. La blonde possède deux émeraudes clairs et brillants à la place des yeux, passant du vert sapin au turquoise selon si la lumière est forte ou faible, toujours rieurs et espiègles. Une peau de pêche, douce et pâle, quoique rosée sur les joues. Un nez légèrement en trompette au bout, mais droit et fin. Des lèvres fines quoique légèrement pulpeuses, toujours délicatement maquillée de rose ou de rouge.

Autre Chose ?
Oui, Aurora n'est qu'une simple citoyenne se concentrant sur sa vie personnelle plutôt que la politique, une chose qui ne l'intéresse absolument pas, donc elle n'a pas d'avis précis dessus.



Derrière l'écran


Prénom/Pseudo habituel :
Je refuse de donner mon identité, tout simplement parce que j’ai toujours préféré qu’on m’appelle Dizzy dans la vraie vie. Very Happy
Âge :
1996 RPZ! \o/
Comment avez vous connu le forum ?
Dans les entrailles du Dieu omniscient et omniprésent, Ghou’gueule.
Une suggestion, quelque chose à ajouter ?
NEIN mon général. Very Happy (Ah si: « AHIIIIIIIII, comment j’suis trop refaite de commencer mon premier forum STEAMPUUUUUUNK!»
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La Plume
Scribouillard tout puissant

La Plume


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MessageSujet: Re: Aurora Lady Sylvestre   Aurora Lady Sylvestre EmptyJeu 26 Avr - 9:17

Une fiche de personnages des plus complètes et des plus agréables à lire Smile

Tu est validée et tu est maintenant autorisé à écrite de ta plus belle plume ton premier post Very Happy

Bon jeu !
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Cléomède Brabantio
Marchand de tapis

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MessageSujet: Re: Aurora Lady Sylvestre   Aurora Lady Sylvestre EmptyJeu 26 Avr - 10:42

Ça c'est de la fiche! bienvenue!

(ps: j'en profite pour dire que mon absence actuelle va un peu se prolonger , je révise)
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Aurora L. Sylvestre

Aurora L. Sylvestre


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MessageSujet: Re: Aurora Lady Sylvestre   Aurora Lady Sylvestre EmptyJeu 26 Avr - 10:46

Merci à vous deux! 8D En espérant te croiser en RP, Cléomède! Wink
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Cléomède Brabantio
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MessageSujet: Re: Aurora Lady Sylvestre   Aurora Lady Sylvestre EmptyVen 27 Avr - 10:03

Ce sera avec plaisir. Parler couture me reposera un peu, mais en ce moment, je suis A Jagathaï, et croyez moi il ne serait pas décent pour une dame que de traîner dans un endroit si peu civilisé.
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