Haldaran
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 Anubis Thorgana

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AuteurMessage
Anubis Thorgana
Contre-Amiral de la Mort

Anubis Thorgana


Messages : 85
Date d'inscription : 21/05/2011

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MessageSujet: Anubis Thorgana   Anubis Thorgana EmptySam 21 Mai - 13:15







Anubis Prometheus Thorgana

« Je suis comme une étoile dans l'Univers, seule, perdue dans le néant, mais dont l'esprit rayonne vers l'Infini... »


Âge : 28 ans
Origine : Île d'Esthalion, Archipel Yunaï-Einji
Lieu/Etat de résidence : Pas de résidence fixe. "Habite" sur son bateau.
Métier/Activité : Mercenaire/Pirate.
Statut : Chef pirate avec le rang de Contre-amiral de la Mort. Capitaine du Léviathan, commande aussi à l'Hydre de Lerne











In Game

Histoire .
Anubis Thorgana est l'unique héritier d'une vieille dynastie de princes marchands établie depuis une dizaine de générations sur la petite île d'Esthalion, à quelques kilomètres au Sud-Ouest de Daiman. Destiné à reprendre l'empire commercial de son père, Léopold Augustus Thorgana, Anubis fut éduqué par les meilleurs précepteurs de la région afin d'affiner ses connaissances non seulement en sciences et en commerce, mais également en navigation, en mécanique et en stratégie militaire. Il s'avéra être studieux, et les cours particuliers portèrent rapidement leurs fruits, faisant d'Anubis la fierté de ses parents. Son avenir semblait ainsi tracé et s'annonçait radieux...


Mais un évènement survint au cours de sa douzième année, qui devait marquer la vie d'Anubis à jamais. Il contracta en effet une maladie très grave et quasiment inconnue, présentant des symptômes de la pneumonie associés à des crises aiguës de douleur, qu'aucun médecin ne parvint à soigner. Sa petite sœur Magdalena, atteinte de la même infection, mourut la même année à l'âge de huit ans. Anubis, lui, y survécut, mais toute la force que dut déployer son corps pour résister à la maladie l'affaiblit gravement, nuisant à ses capacités physiques. Il en restait néanmoins beau et, sa maladie s'étant révélée non contagieuse, il se fiança à dix-sept avec une jeune fille du nom de Ludmilla, et en tomba éperdument amoureux. La jeune fille paraissait compréhensive, et s'occupait de lui aussi bien qu'elle pouvait, l'accompagnant partout où il allait. Anubis, toujours malade mais endurci, réalisait des voyages commerciaux pour le compte de son père. Ces voyages d'affaires, il les vit cependant d'un autre œil : émerveillé par les contrées qu'il visitait, il naquit en lui un désir intense de voir le monde et d'explorer de nouveaux espaces. Peu à peu, il se désintéressa du commerce et de l'économie, matières qui dès tout jeune lui causaient déjà des bâillements d'ennui, et se mit en quête d'une sagesse qu'il pensait pouvoir atteindre par les sciences et le voyage...


Cette nouvelle philosophie ne plut cependant pas à son père, qui n'aimait pas trop ce genre de fantaisie. Il sentait bien qu'Anubis, à la recherche du sens de sa maladie, échappait à son contrôle, et qu'il n'était plus assez concentré sur l'avenir de l'empire commercial des Thorgana. Ce fut dès lors une source de conflit entre Anubis et son père, ce dernier ce montrant de plus en plus avec lui sans voir que cela ne faisait qu'alimenter son désir de partir. Néanmoins, jamais il ne se serait attendu à ce que son père, au cœur d'une violente dispute, décide soudainement de déshériter et de renier son propre fils. Cela se produisit un soir d'été, et Anubis se retrouva tout d'un coup à la porte du manoir de ses parents, sans famille et sans argent. Renié, il courut alors se réfugier chez sa fiancée, pensant y trouver le réconfort de l'Amour; mais lorsqu'elle apprit qu'Anubis venait d'être déshérité, cette garce ne se révéla intéressée par lui que pour son argent, et rompis les fiançailles le soir même. Abandonné, Anubis n'avait dès lors plus personne vers qui se tourner. Fou de rage et de douleur, il s'introduisit par effraction dans le manoir de ses parents, pilla plusieurs coffres et s'enfuit, avec ses affaires et l'or volé à son père, dans son petit bateau à voiles. Léopold Thorgana, l'ayant surpris sans avoir pu l'attraper, fit rechercher son fils par les autorités de l'Archipel. Ceux-ci retrouvèrent Anubis, l'arrêtèrent et le jetèrent en prison. Mais l'or, caché sur un îlot rocheux et désert, ne fut pas retrouvé, Anubis étant le seul à connaître son emplacement.


La prison était située sur une île minuscule au large de Daiman, dans une ancienne forteresse réaménagée. Anubis était alors âgé de vingt-et-un ans. Résigné et désespéré, ne tarda pas à s'habituer à cet endroit et, bien que solitaire, commença à lier de vagues amitiés avec les malfrats qui partageaient son quotidien. Malgré tout, son air chétif et désespéré amusait beaucoup les autres détenus, qui le prirent rapidement comme objet de leurs plaisanteries douteuses. L'un d'eux, nommé Max d'Arbes, commit un jour l'imprudence d'aller trop loin, en le faisant trébucher alors qu'il portait son plateau plein de bouillie de la cantine, puis de relever le jeune homme éclaboussé en l'insultant et en le ridiculisant encore plus devant toute la prison. C'en fut bien trop pour Anubis qui, fou de rage, sauta soudainement au cou de son interlocuteur lequel, déstabilisé par l'effet de surprise, n'eut pas le temps de se défendre. En dépit de sa faiblesse due à sa maladie, le jeune homme était encore costaud, et avant qu'on ait eu le temps de les séparer, Max d'Arbes avait déjà périt par strangulation. Anubis passa trois mois à l'isolement, et lorsqu'il ressortit il découvrit que l'ensemble de la prison s'était entre temps divisée, avec d'un côté des partisans qui avaient trouvé son acte justifié, et de l'autre ceux qui condamnaient cette action. C'est ainsi qu'il commença à se faire un nom et à rassembler des hommes autour de lui. Il se découvrit l'étoffe d'un meneur d'hommes.


Ce fut deux ans plus tard que survint une violente tempête qui balaya une partie de l'Archipel Yunaï-Einji comme rarement on avait eu l'occasion d'en voir dans une vie. Les vents puissants et la mer déchaînée eut tôt fait d'emporter une partie des murs de la vieille forteresse croulante qui faisait office de prison. À la faveur de la confusion générale qui résulta de cette accident, Anubis et ses hommes en profitèrent pour s'évader, et trouvèrent refuge dans une grotte naturelle au Sud de l'île, où ils attendirent que la tempête ne cesse. Par la suite, n'ayant rien d'autre à perdre, ils enlevèrent leurs vêtements et se jetèrent dans l'eau calme de l'après-tempête, espérant atteindre la côte à un ou deux kilomètres ou bien rencontrer un bateau qui les récupérerait sans les reconnaître. Finalement, la seconde option ce matérialisa par un navire des autorités de l'Archipel, à la recherche justement d'éventuels naufragés de la tempête. Sans leurs habits de prisonniers, la vingtaine de bandits de ne fut pas reconnu, et ceux-ci en profitèrent pour massacrer l'équipage par surprise grâce aux armes trouvées dans la cale, et s'emparer du bateau. Dès lors, Anubis comprit qu'il n'était qu'un malfrat en cavale et qu'il n'avait nul autre choix que de poursuivre dans cette voie. Il s'imposa capitaine du bateau devant ses hommes qui lui devait cette évasion réussie, et se convertit à sa piraterie. Pour s'assurer de la fidélité de ses hommes, il lui fallut de l'argent, et il choisir pour cela de finir ce qu'il avait commencé, en pillant entièrement avant de détruire le manoir de ses parents, où il avait passé toute son enfance. Ses parents étaient alors en voyage, et ne constatèrent les dégâts que bien plus tard. Mais ce fut pour Anubis le début d'une nouvelle aventure, qui devait le mener à devenir l'un des pirates les plus dangereux de l’Océan.

Caractère .
Difficile de décrire ce qu'il peut se passer dans la tête d'un esprit tel que celui d'Anubis. Son éducation riche et très complète dans de nombreux domaines lui confèrent une intelligence et un sens de la réflexion remarquablement développés. Il a cependant l'esprit torturé par plusieurs années de crises de douleurs fréquentes et intenses, ainsi que par le choc découlant du reniement de ses parents ainsi que de l'intolérable révélation des intentions de son ex-fiancée. Néanmoins il garde de ses expériences, outre un souvenir amer, une détermination impitoyable et une rage proche de la folie, souligné par une vision fortement sombre du monde. Mais tout cela reste intérieur, Anubis se montrant plutôt terriblement calme et d'une patience à toute épreuve. Rusé, tacticien et calculateur, il use de ses compétences pour servir sa seule et unique cause, tantôt mercenaire au service de grandes compagnies qui demandent sa protection ou d'étranges services, tantôt pirate sanguinaire pillant les convois marchands voire les autres pirates ; et se faire rspecter de ses hommes. À côté de cela, Anubis est un piètre diplomate et persiste dans un pessimisme de mauvais aloi ; et a de plus une fâcheuse tendance à abuser de diverses drogues pour calmer ses douleurs, habitude prise en prison. Enfin, des rumeurs lui prêtent un inquiétant penchant pour les sciences et arts occultes, ainsi qu'une fascination pour le culte de dieux noirs, mais rien de cela n'est vérifié...

Description Physique .
Les traits physiques d'Anubis demeurent profondément marqués par la maladie qui le ronge. La nature voulait lui conférer une grande taille ainsi qu'une forte corpulence mais, son infection ayant pris le dessus, il se retrouve extrêmement maigre pour son bon mètre quatre-vingt-dix. La peau très pâle, de longs cheveux noirs et graisseux, des yeux d'un brun tirant vers le rouge et des petites cernes sombres dû à l'usage continuel de drogue, tout sur son visage contribue à lui donner un aspect inquiétant. Il impressionne ses opposants en les fixant longuement de son regard à la fois perçant et vide, sans cligner des yeux pendant plusieurs minutes. Il paraît cependant frêle et chétif, en dépit d'une force physique entrant dans la moyenne, et à toujours l'air fatigué même quand il est en forme. Suite au caractère pulmonaire de son infection, il souffre d'asthme qu'il compense par la prise de drogue, se qui ne l'empêche pas de laisser régulièrement échapper une toux rauque et sonore, qui se présente comme un signe précédant sa haute et fine silhouette enveloppée dans un manteau noir long et usé...


Autre Chose ?

Le Léviathan


Anubis Thorgana Drapeaulviathan



Les débuts d’Anubis dans la piraterie furent longs et compliqués, mais sa stratégie associée à sa connaissance technique des bateaux lui assurèrent tout de même de petites victoires. Le petit bateau à voiles de lui et ses hommes, volé aux autorités de l’archipel et rebaptisé l’Hydre de Lerne, n’était cependant pas de taille à s’attaquer aux grands galions commerciaux des Princes Marchands et des grandes compagnies, lesquels avaient souvent une puissance de feu bien supérieure à la leur, lorsqu’ils n’étaient pas plus rapides qu’eux. Aussi, le capitaine Anubis préférait s’attaquer aux petits cargos et aux bateaux à voiles, et éviter autant que possible le contact avec les bâtiments lourds. Jusqu’au jour où il ne put faire autrement…


Anubis sillonnait alors les mers depuis près de deux ans, il en avait vingt-cinq. La journée avait été calme, le soleil illuminait le ciel de ses rayons réparateurs et l’Océan était paisible. La plupart des hommes, et Anubis lui-même, en profitaient pour se reposer tandis que l’Hydre de Lerne voguait nonchalamment sur les flots. Mais le cri de l’homme posté à la vigie surprit soudainement l’ensemble de l’équipage d’un tonitruant : « Convoi commercial à tribord ! ». S’en suivit un branle-bas de combat général, au cours duquel Anubis, l’œil collé à sa lunette, n’identifia pas moins de trois galions escortés par un gigantesque vaisseau de ligne aux armoiries d’une grande dynastie de Princes Marchands. Rapidement, le capitaine suggéra de s’éclipser avant que leur bateau ne soit repéré. Mais il était trop tard : au bout de deux ans de piraterie l’Hydre de Lerne figurait sur la liste des bateaux hors-la-loi que dressaient régulièrement les autorités de l’Archipel, si bien qu’à peine le vaisseau de ligne l’avait-il remarqué, que déjà il fonçait droit sur le bateau d’Anubis et de ses compagnons, en arborant le pavillon triangulaire rouge et noir qui signifiait dans le langage maritime : « À la chasse aux pirates ! ». Le vaisseau de ligne, couplant le moteur à vapeur aux voiles, était bien plus rapide que l’Hydre, et Anubis comprit très vite qu’ils ne pourraient pas fuir face au bâtiment qui avait abandonné le convoi qu’il escortait et était déjà sur eux. C’est alors qu’il choisit une autre stratégie : plutôt que de tenter tout de même la fuite, il fit tourner son bateau dans la direction du vaisseau de ligne. Par chance, il avait le vent à son avantage, et se présentait ainsi face à la proue du vaisseau de ligne, limitant le risque que celui-ci le touche à l’aide de ses canons principaux. Cela n’empêchait pas ce dernier de faire feu avec ses canons de proue, mais l’Hydre était suffisamment maniable pour éviter les boulets et autres obus qui pleuvaient sur la mer.


Ceci permit au bateau d’Anubis de s’approcher si près du vaisseau adverse qu’il put ordonner une chose inouïe à laquelle personne, sur l’Hydre de Lerne comme sur le vaisseau de ligne, ne s’était attendu : l’abordage. La petite taille de l’Hydre lui permit de se glisser le long de son ennemi sans que celui-ci ne puisse lui causer de dégâts importants, bien que le mât principal fut tranché net au cours de cette opération. Les hommes d’Anubis étaient des malfrats de la pire espèce, qui n’avaient peur de rien et qui avaient compris que, dès lors, ils n’avaient plus rien à perdre ; et ils n’hésitèrent pas à se hisser sur le vaisseau de ligne sous les ordres de leur capitaine. Les grappins volèrent, les fusils tempêtèrent, les sabres claquèrent et les morts s’étendirent sur le pont du vaisseau abordé. Mais au fur et à mesure que l’abordage se menait on s’aperçut que, contre toute attente, l’équipage du vaisseau de ligne était bien moins armé que les hommes d’Anubis, les Princes Marchands étant sans doute trop radins pour acheter un nombre adéquat d’armes, ou bien trop confiant dans la puissance de feu dissuasive de leurs vaisseaux de lignes. Toujours est-il que les pirates prirent le dessus, et lorsque les membres de l’équipage virent Anubis trancher la tête de leur capitaine, ils se rendirent sans conditions. Les hommes d’Anubis devinrent alors maîtres du monstrueux vaisseau de ligne. Les hommes de l’équipage furent faits prisonniers, mais certains parmi eux, qui voyaient dans la piraterie un excellent moyen d’obtenir un meilleur salaire que dans leur compagnie, finirent par rejoindre les hommes d’Anubis sous le commandement de ce dernier, et ils n’étaient pas de trop pour s’occuper de sa nouvelle acquisition. Les autres furent plus tard relâchés sur un canot de sauvetage au large de Daiman.


Ce vaisseau de ligne, dont le nom originel s’est perdu dans les vagues du temps, fut rebaptisé Léviathan, et Anubis en devint le capitaine. Et il ne tarda pas à l’essayer : Anubis ordonna qu’on hisse le pavillon bleu qui signifiait « Tout va bien ! » et qu’on rejoigne le convoi en faisant croire que tout danger était écartés. Les galions du convoi y crurent, et les pirates en profitèrent pour les piller et les couler un par un. Ce fut le premier grand acte de piraterie d’Anubis. Par la suite, il mit à profit la puissance de son navire pour s’attaquer à tous ces bâtiments qu’il avait jusque là préférer éviter. Les victoires s’enchaînaient, Anubis usa de sa fortune toujours grandissante pour recruter des hommes et surtout moderniser le Léviathan. Ce dernier était long de quatre-vingts mètres, possédait cinq mâts, un moteur à vapeur performant et plus d’une centaine de canon ; et Anubis en renforça la coque par plusieurs couches de plaques de métal et de bitume, ainsi que d’une couche de résine, extraite d’une espèce particulière de palmier des îles, aux propriétés d’imperméabilité et de très forte résistance lorsqu’elle est sèche, et qui rendit la coque noire comme du jais. Il investit également dans des armes nouvelles, se constituant un arsenal capable de répondre à toute éventualité. Il n’abandonna cependant pas l’Hydre de Lerne, qu’il fit réparer et renforcer de même et, comme Anubis ne pouvait être capitaine de deux navires, ses hommes, très respectueux envers lui, le hissèrent au rang presque légendaire de Contre-amiral de la Mort ― l’équivalent pirate d’Amiral de la Flotte ― et lui laissèrent les commandes du Léviathan tandis que son fidèle second et plus grand ami, le quartier-maître Lestatt Aliecto Iraxter, fut nommé capitaine de l’Hydre de Lerne sous le commandement d’Anubis.


C’est ainsi que celui-ci entra véritablement dans la légende de la piraterie ; s’attaquant aux navires commerciaux comme aux navires pirates, vendant ses services ou sa protection aux grandes compagnies sous ses conditions et pour des sommes vertigineuses, et écumant parfois les côtes, à la tête de ses deux bateaux. Il installa son repaire dans la mystérieuse île rocheuse où il avait caché l’or volé à ses parents cinq ans auparavant, celle-ci offrant une cachette idéale et suffisamment vaste pour accueillir ses bateaux et dissimuler son butin, son matériel et abriter ses hommes, certains s’étant mêmes installés là-bas avec leur famille et constituent comme une défense permanente de l’île. Anubis ne reste cependant qu’un homme malade à la poursuite d’un but dont lui-même ignore le contenu, et il sait se montrer discret tout autant que féroce. Sa légende, partie des quelques îles dans lesquelles il a le plus souvent croisé, s’est répandue dans l’Archipel par le biais des autorités qui le considèrent comme le pirate le plus dangereux de l’Océan ; et aujourd’hui nul ne peut décrire la crainte inspirée par la vision du pavillon noir et bleu aux inscriptions occultes qui constitue le symbole d’Anubis, et le nom infernal de son monumental vaisseau de ligne résonne toujours aux oreilles des marins comme le son aigu et strident d’un glas funéraire...





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Vous aimeriez le savoir, n'est-ce pas ?
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536 112 000 secondes (et des poussières...)
Comment avez vous connu le forum ?
Totalement par hasard (c'est pas comme si je connaissais mon colloc', hein...)
Une suggestion, quelque chose à ajouter ?
Enfin fini ! Je suis plutôt fier de mon idée, et j'ajoute que j'ai plein d'autres idées pour définir les codes maritimes et pirates, et mille autres détails encore !


Dernière édition par Anubis Thorgana le Jeu 2 Juin - 19:37, édité 2 fois
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Cléomède Brabantio
Marchand de tapis

Cléomède Brabantio


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Localisation : a Traitreland

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MessageSujet: Re: Anubis Thorgana   Anubis Thorgana EmptyDim 29 Mai - 11:33

Citation :
Métier/Activité : Mercenaire/Pirate.


Tu m’intéresse! j'ai des projets pour toi... de Très Grands Projets MWAHAHAHA *tousse* *tousse* Hum..... enfin bref si on me cherche je suis dehors...

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La Plume
Scribouillard tout puissant

La Plume


Messages : 324
Date d'inscription : 22/04/2011

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MessageSujet: Re: Anubis Thorgana   Anubis Thorgana EmptyMar 31 Mai - 19:56

Je vois que tu veux rajouter quelques petites choses mais pour ce qui est de tout le reste c'est vraiment parfait. J'adhère totalement, et tu as une très belle écriture *,*
Bon courage pour les finitions =)

EDIT : Fiche terminée, et bien entendu tu es validé, bon jeu !
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Anubis Thorgana

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