Les jours et les nuits passaient, et Roy apprenait de ces gens. Il existait entre eux une hiérarchie, un ordre des choses, des mœurs solidement ancrés dans leurs âmes. Nul ne les ignorés. L'homme vêtu de noir était reçu dans la qualité d'hôte des voyageurs, pas la meilleur situation mais point la pire qu'il puisse exister. En effet, il partageait les ration des hommes des montagnes et devait participer au bon fonctionnement de cette micro société.
Chaque soir, au coin du feu, les hommes avait l'habitude de raconter leurs exploit. L'un parlait des guerre entre tributs et de ses nombreux pillages dans les fermes haldaran ou maintes et maintes fois il fut élut par le chef du village comme son Ambactos. Le plus vieux, chasseur dans sa fougue jeunesse , maniait les mots avec plus d'adresse au point qu'il réussi mieux à capter l'attention de son auditoire, son visage éclairé par les braise pétrifiait celui qui fut plongé dans les songes, voyant à travers la fumée les visages des animaux nordique revenir de l'autre monde. Roy était happés par son histoire, ces hommes
durci par le climat traquait leurs proies sans relâche parcourant les montagnes à travers le blizzard. Une fois la cible choisit il ne la lâchait plus, ils étaient de très bons pisteurs, expiant les moindres indices jusqu’au jour où la bête finit par faire son premier faux pas. A ce moment l’homme des montagnes , ou en l’occurrence le vieil homme, entre dans un état second il se fait invisible au gibier. Ralentissant son poux et sa respiration, se plaçant instinctivement à l’opposé du vend l’homme est capable d’admirer l’imposant monstre qu’il a en face de lui. L’ours, le sanglier , et toutes les animaux résistants aux grands froids était alors à sa merci. A ce moment le chasseur armé de son arbalète , impact avec grande précision l’un des points faible de sa proie qui blessé mais pas tué prend le large tant bien que mal. L’homme, fort de son expérience, tant de la chasse que de la nature, à eu soin de disposé un violent poison sur le bout de son carreaux qui achèvera la bête au cours d’un certain temps. C’est ainsi que l’homme des montagnes domine la faune sauvage qui l’entoure.
Roy parla au vieille homme après le discours de celui-ci, de ses propres aptitudes en forêt et de ses maigres réussites dont il avait un peu de fierté. L’homme fut content de voir que sur le continent gardait des hommes capable de survivre et de dompter la nature. L’homme l’emmena dans son chariot ou il lui montra, dans une armoire le reste de ses ennemis, des peaux, des griffes et des dents que l’homme gardait précieusement comme le souvenir d’un glorieux passé. Dans cette même armoire ce trouvait aussi quelques vielles armes et fioles de poison que l’homme espérait un jour réutiliser. Roy regarda les nombreux venin de l’homme il les avait étiqueter en fonction de leurs usage. Le vieux montagnard remarqua l’intéressement de Roy pour ceux qu’il faut faire ingérer. L’homme l’utilisait dans les appâts utiliser pour traquer le plus gros gibier. Ce poison inodore et sans gout une fois ingérer était parfait pour éviter le flair animal. L’homme expliqua que la bête mourrai trop lentement et gardait ses facultés trop longtemps. De plus la lâcheté d’un tel stratagème répugnait le vieille homme. De ce fait, Roy justifiant un acte chasseresse n’eut de mal à lui faire céder ce poison contre quelques pièces d’haldaran, et après les quelques précautions d’utilisations donné par l’homme, il mit la fiole dans un de ces étuis de cuivre et parti se reposer dans le campement.